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Vision Vancouver — Campagne électorale

Vision Vancouver — Campagne électorale

Stratégie de contact avec les électeurs

Le contexte

Stratcom et le parti Vision Vancouver ont collaboré pendant plus d’un an à élaborer et déployer une solide campagne adoptant plusieurs canaux et visant des contacts répétés, en s’appuyant sur des sondages d’opinion et des données de microciblage produits par Stratcom pour diverses décisions et activités.

Stratcom a géré les campagnes de contact avec les électeurs et pour faire sortir le vote de Vision Vancouver, et a été capable de cibler efficacement les électeurs les plus susceptibles de soutenir le parti, de manière à maximiser les ressources de la campagne. Stratcom a fourni des services à la campagne (assemblées téléphoniques, appels robotisés, publipostages, appels de pointage, appels de persuasion, appels pour sortir le vote et messagerie vocale interactive) et a coordonné plusieurs autres fournisseurs (banques de numéros de téléphone spécialisées dans les communautés chinoises et asiatiques, recenseurs en mode porte à porte, et plus)

La solution

L’approche de Stratcom à la campagne électorale 2011 de Vision Vancouver a consisté à élaborer des programmes de contact avec les électeurs et pour faire sortir le vote qui constituait un hybride:

a) du modèle traditionnel canadien de campagne électorale qui consiste à identifier les supporters au cours de la campagne puis à faire sortir le vote de ces supporters le jour des élections ;
b) du modèle américain moderne qui consiste à contacter massivement des électeurs potentiels (y compris par publipostage) identifiés par microciblage durant la campagne. Le jour des élections, l’effort pour faire sortir le vote portera aussi bien sur les sympathisants déjà contactés, que sur les électeurs potentiels non contactés mais supposés favorables selon le ciblage.

 

Les résultats

Le jour du scrutin, Vision Vancouver a fait sortir le vote de 50 222 supporters identifiés, et d’un peu plus de 25 000 autres électeurs non contactés, à qui on avait attribué les trois plus hautes cotes en microciblage, ce qui permettait de miser sur leur appui même si l’on n’avait pas réussi à leur parler. Cela a permis de tabler sur la possibilité de faire sortir 75 000 électeurs, permettant une bien meilleure récolte de votes, qui n’aurait pas été possible avec les méthodes traditionnelles. Après le décompte électoral, Vision Vancouver avait fait élire son candidat à la mairie, ses sept conseillers municipaux, ses cinq commissaires au conseil scolaire, et ses cinq candidats à la commission des parcs. Donc, dans cette élection de 2011, Vision Vancouver a fait élire tous ses candidats, et ce succès a été largement attribué à sa campagne de contact des électeurs — aussi bien par le parti que par ses adversaires et par les médias.

Gregor Robertson, le candidat à la mairie, a reçu 77 005 votes, tandis que les candidats de VV qui ont remporté chacun des postes au conseil ont reçu entre 63 000 et 77 000 votes. Sans aucun doute, la grande majorité des votes exprimés pour les candidats de Vision Vancouver ont été le résultat des campagnes d’identification, de contact et de rappel le jour du vote.

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